Oyez, Oyez braves gens, les saltimbanques, les funambules, les ménestrels sont céans !
Ils viennent vous divertir et vous conter leurs histoires :
Il était une foi, dans une contrée sauvage et sans merci, un bien vilain seigneur, qui faisait régner la terreur sur les contrées du voisinage …un membre de la confrérie s’en trouvait fort marri…
La confrérie lui apportait victuailles et conseils, mais les pillards n’en avait cure ! même lorsque le grenier fut vide et les bêtes abattues, ils revenaient sans cesse…
Cela suffit décidèrent les pauvres hères, il faut nous défendre ! Avant que de mourir !
Mais, nous avons toujours été pacifiques, gémir certain, cultivant nos ressources avec une vieille pelle ou une serpette, peu de bête pour soulager nos taches, quelques braves destriers, mais surtout des bêtes de bats, et nous, volant honteusement une maigre pitance abandonnée, inactive !
Il fut pour le bien de tous, décidé de négocier avec ces vils pourfendeurs… En vain malheureusement, mais ce seigneur avait quelques terres amies non loin, les plus courageux emmenèrent leurs quelques bêtes de somme et s’en allèrent punir ces mécréants.
Le puissant seigneur rusa et montra tout l’art de sa félonie, il s’en vint se placer sous la protection d’un roi plus puissant encore, un des frères envoya une missive au prince trahi,
Le châtiment des puissants devait il être poursuivi ? Le prince con connaissait t-il ce retournement inopiné ? Qu’allait-t il advenir des forges, des écuyers en cours d’entraînement ?
La confrérie s’obligeait à secourir tous les serfs isolés, toutes les petites gens perdus, leur espoir de les voir devenir des chevaliers a leur tour n’était peut être pas vain ! l’espoir était revenu, il restait à croiser le fer avec le chevalier sanguinaire…
Mais d’un lointain pays, arriva le bruit qu’une missive était venue tempérer cette quiétude,
Le prince con fut abusé, par sa cour ? Ces généraux ? D’autres têtes couronnées jalouses ?
Des gens de sa connaissance, car il partageait un savoir connu d’eux seuls.
Le prince, n’écoutant que la voix du lâche qui l’avait trompé, fit sonner les trompettes et appela à l’éradication des braves de la confrérie qui en furent surpris !
Des pieux Ils rassemblèrent, équipèrent leurs montures de bien pauvres armures, et choisirent de lutter pour leurs terres.. De grandes batailles il n’est pas question, des escarmouches tout au plus, braves gens ne soyez pas déçus, ces frères avec peu, feront preuve de détermination.
Ils décidèrent de mener à bien leur nouvelle mission, l’art de la guerre, et si par ailleurs certains devenaient de preux chevaliers, vous serez, vous qui m’écouter, les premiers informés !!
Trèves de billevesées, il est temps de s’équiper, la tache est rude, pour être racontée dans le monde entier, dans la galaxie, dans les neuf galaxies, l’histoire est petite, et nous ferons qu ‘elle sera belle et que dans quelques semaines, vous écouterez encore nos ritournelles …
M.